MAEVA : Électrifier l’avenir des femmes en Côte d’Ivoire

Dans la région de la Marahoué, en Côte d’Ivoire, l’électricité n’est pas seulement une source d’énergie, c’est un levier d’autonomisation et de transformation sociale pour les femmes. Avec le projet MAEVA, la Fondem s’engage à former et équiper ces femmes en outils électriques, leur permettant de développer leurs activités et de s’assurer un avenir durable.

Un projet au service de l'autonomisation féminine

Avec MAEVA, les usages productifs de l’électricité deviennent un véritable moteur de transformation économique et sociale pour toute la région. Ce projet vise à accompagner les femmes dans leur insertion professionnelle et à soutenir le développement de leurs activités économiques, leur offrant ainsi de nouvelles opportunités et une plus grande autonomie :

Minata Bougoum prépare le lancement de son projet d’installation d’une quincaillerie, et proposera du matériel électroménager et divers accessoires indispensables aux habitants de la région.

Les membres de la coopérative de Soleli qui souhaitent transformer leurs récoltes plus efficacement grâce à du matériel électrique performant recevront une aide financière du projet, ce qui leur permettra d’optimiser la production, la transformation et la commercialisation de la pâte de manioc (Placali).

 13 000 personnes dans 19 localités bénéficieront des retombées positives du projet.

Des résultats concrets et des vies transformées

L’impact de MAEVA se mesure à travers les histoires inspirantes de ces femmes qui, grâce à ce projet, voient leurs perspectives s’ouvrir.

Emilienne Tie Lou, bénéficiaire du projet, en témoigne :

« Je remercie le projet MAEVA de m’avoir sélectionnée pour m’aider à développer mon activité. Grâce à la formation Top Vente, je sais comment mieux vendre mes produits et mieux m’organiser dans mon activité. »

Un besoin urgent de financement pour aller plus loin

Malgré ces avancées prometteuses, le projet MAEVA fait face à un manque de financement qui pourrait freiner l’accompagnement des électriciennes, retarder l’installation des équipements agricoles et limiter l’essor des activités économiques des femmes de la Marahoué.

Ce projet est mené grâce au soutien de :