Dans de nombreuses zones rurales d’Afrique subsaharienne, l’électricité reste inaccessible. Moins de 30 % des habitants disposent d’un accès fiable, contre plus de 70 à 80 % en milieu urbain. Cette inégalité énergétique freine le développement des territoires et limite les opportunités économiques, éducatives et sociales des populations.
Sans électricité, les écoles ferment tôt, les activités s’arrêtent au coucher du soleil, les productions ne peuvent être conservées, et les familles restent dépendantes de solutions coûteuses et polluantes.
L’électricité comme levier de transformation durable
Pour la Fondem, l’électricité n’est pas une fin en soi. Elle est un outil au service de l’autonomie des communautés rurales. Lorsqu’elle arrive, elle permet de travailler, d’améliorer la production agricole, de créer des activités économiques, de renforcer l’éducation.
Chaque projet vise à créer des impacts durables, en s’appuyant sur des solutions adaptées aux territoires et sur le renforcement des compétences locales.
Agir là où les réseaux ne vont pas
Dans les villages isolés, éloignés des centres urbains, l’accès à l’électricité représente un défi logistique et humain. Acheminer du matériel sur des pistes difficiles, installer des systèmes solaires fiables et former localement pour assurer leur maintenance constitue ce que la Fondem appelle le “dernier kilomètre”.
C’est pourtant dans ces territoires que l’impact est le plus immédiat. Une école éclairée, un atelier fonctionnel ou une coopérative équipée transforment le quotidien de toute une communauté.
Soutenir la campagne de fin d’année de la Fondem, c’est permettre à des communautés rurales de franchir un cap décisif. C’est donner les moyens d’apprendre, de produire, d’entreprendre et de se projeter.
Des territoires qui se relèvent.
Des vies qui s’élèvent.




