En Casamance, malgré un fort potentiel maraîcher, les ressources restent sous-exploitées, alimentant une insécurité alimentaire persistante. Cette situation découle de la réduction et de la salinisation des eaux, aggravées par l’absence de mécanismes efficaces de gestion, d’un manque d’organisation et de planification de la filière entraînant des pertes et une instabilité des prix, ainsi que d’une chaîne de valeur post-récolte insuffisante, marquée par l’absence d’infrastructures de stockage et de systèmes de commercialisation performants. Face à ces défis, le projet SEMER vise à proposer des solutions durables et adaptées.